Chers parents,
Chers élèves,
Bienvenue à l’Institut Immaculée St-Pierre.
“L’Immaculée d’Evreux” est un groupe scolaire qui se compose de trois entités :
• L’école maternelle et primaire de l’Immaculée (dirigée par M. Hert)
• Le collège de l’Immaculée (dirigé par M. Péron)
• L’école maternelle et primaire de Saint Pierre (dirigé par Mme Jestin)
Nous avons à cœur, au sein de ce groupe scolaire, d’encourager chaque enfant, quel que soit son parcours, à développer ses capacités et ses talents tout en l’aidant à grandir dans toutes ses dimensions.
Nous sommes très attachés à l’existence d’une relation entre l’équipe éducative, l’enfant et sa famille fondée sur la rigueur, la confiance et la sérénité si propice aux progrès, notamment des apprentissages, et au bien-être de tous.
Dans cette perspective, nous veillerons, avec toute l’équipe pédagogique et éducative, à accompagner chaque enfant, dans le cadre d’une exigence et d’une fermeté bienveillantes, afin de lui permettre de réaliser toutes ses potentialités.
Attentifs également à l’évolution de notre société, nous nous montrerons vigilants, dans le respect des traditions et de l’histoire de l’Immaculée, à favoriser tous les projets préparant nos élèves aux enjeux de demain.
Enfin, notre établissement propose, dans le cadre du projet éducatif et du caractère propre de notre institution, un chemin de Foi, afin qu’en toute liberté, nos élèves qui le souhaitent puissent avancer dans une démarche spirituelle qu’ils auront choisie.
M. Péron (chef d’établissement du collège), M. Hert (chef d’établissement de l’école Immaculée) et Mme Jestin (chef d’établissement de l’école St-Pierre)
Organigramme
Historique de l'Immaculée
- Madame Réveilhac– Juin 2017

- HISTORIQUE DE L’IMMACULEE : 1938 – 2017– Mai 2017
1938 Mademoiselle REVEILHAC , connue le plus souvent sous le nom de Mlle Marthe, qui avait grand souci de l’éducation chrétienne des enfants du quartier de Navarre, fait don de sa propriété pour ouvrir une école. Avec l’aide du Chanoine DELAMARE, curé de la paroisse et de Madame La Baronne DU POUGET, une classe de garçons est ouverte dans les locaux de la Sainte Famille. Appel est lancé à cette même communauté pour prendre la responsabilité de l’école de filles, dans les locaux du château.
1938
Mademoiselle REVEILHAC , connue le plus souvent sous le nom de Mlle Marthe, qui avait grand souci de l’éducation chrétienne des enfants du quartier de Navarre, fait don de sa propriété pour ouvrir une école.
Avec l’aide du Chanoine DELAMARE, curé de la paroisse et de Madame La Baronne DU POUGET, une classe de garçons est ouverte dans les locaux de la Sainte Famille. Appel est lancé à cette même communauté pour prendre la responsabilité de l’école de filles, dans les locaux du château.
La loi de séparation de l’église et de l’état interdit aux sœurs d’enseigner en tant que religieuses. Ce sont donc quatre demoiselles qui ouvrent cette école.
Mlle MARTHE : Sœur Ste Marthe, Supérieure, directrice et fondatrice du pensionnat de l’Immaculée ;
Mlle MARIE : Sœur St Pierre du Christ ;
Mlle GABRIELLE : Sœur Marie-Léon, tante de notre future directrice Sœur Gabrielle ;
Puis en 1939, Mlle REINE : Sœur Ste Reine.
L’école ouvre avec 18 élèves en septembre, puis 50 en novembre et quelques pensionnaires.
- 1939
La première pierre de l’école St Joseph est posée : deux classes sont présentes.
- Monsieur PUGEAULT est le directeur.
Un cours complémentaire est ouvert à l’Immaculée.
1940
Le château est occupé par les allemands jusqu’au 15 août. Après leur départ, les sœurs remettent tout en ordre et l’école ouvre début septembre.
Il y a alors une cinquantaine d’élèves : les maternelles dans un petit bâtiment le long de la rivière, les primaires au château et les classes préparant au Brevet dans les anciennes écuries, actuel réfectoire. Et au centre cette cour, sous la pelouse, une tranchée servant de refuge lors des alertes.
1941
Les sœurs ont maintenant le droit d’enseigner en tant que religieuses. Il n’y a plus de « Mademoiselle » mais des « Chères sœurs ».
1942
Agrandissement de la véranda sur le parc pour doubler le réfectoire.
1943
Ouverture d’une classe préparatoire au baccalauréat. Cette classe sera fermée deux ans plus tard.
1944
Classes primaires dans les anciens communs et dans trois baraquements à l’ombre du Cèdre du Liban, deux fois centenaire, ainsi qu’une classe d’enseignement ménager.
1945
Paraît au Journal Officiel la déclaration de l’association « les jeunes de l’Immaculée »
1946
Les effectifs continuent à grossir, les classes maternelles émigrent dans les locaux, près des sœurs de la Sainte Famille. Les communs deviennent alors cuisine et réfectoire. L’ancien vestibule, ancien réfectoire, est partagé en deux parties : vestibule pour l’accueil et petite chapelle.
1948
Aménagement de dortoirs et de douches au-dessus de l’actuel réfectoire.
Prise en charge par Sœur St Pierre, pour la distinguer de Sœur St Pierre du Christ, des cours commerciaux.
A St Joseph, Monsieur LIMEUL remplace Monsieur PUGEAULT.
1950
Une construction s’élève le long de la rivière entre le château et les réfectoires. Trois classes accueillent les cours commerciaux et l’enseignement ménager. Cette construction sera surélevée deux ans plus tard, le premier étage accueillant les dortoirs.
Cette même année débute à Mandailles, au pied du Puy Mary, dans une maison ayant appartenu à un prêtre de la famille Réveilhac, les premières colonies de vacances suivies par des classes de neige.
1951
Monsieur LIMEUL, directeur de l’école St Joseph, décède d’une crise cardiaque le soir de la kermesse. Monsieur le chanoine BIENVENU assure l’intérim, suivi en 1952 par Monsieur LEFEBVRE.
1953
Monsieur LANAVE remplace Monsieur LEFEBVRE.
1957
Monsieur PITETTE prend la direction de Saint Joseph avec Madame JOLY (Ghyslaine Chanoine) comme adjointe.
1960
Le saut de la rivière est décidé et, dans la prairie où paissaient quelques vaches, les premiers préfabriqués sont implantés. Cela permet aux classes enfantines et primaires de revenir à l’Immaculée. Les classes de 6ème et 5ème s’y abritent également et une salle de jeux servant de sport s’y ajoute bientôt.
Ce sont également les premières applications de la loi scolaire votée le 31 décembre 1959 : loi Barangé accordant des subventions aux écoles privées.
Jusqu’à cette époque, la totalité des frais de fonctionnement, les salaires des maîtres, des professeurs, des personnels ainsi que les constructions, étaient à la charge des parents d’élèves. Il arrivait que, pour assurer les salaires des professeurs, pourtant bien peu élevés, il faille demander l’aide du Curé de la Paroisse.
C’est aussi une deuxième tranche de préfabriqués dans la prairie. Les classes se multiplient : classes de 6ème, 5ème, 4ème et 3ème pratiques.
1962
Ouverture d’une troisième classe dans un préfabriqué.
1963
Sœur St Pierre du Christ, revenue à Evreux après avoir été directrice à Damville et aux Herbiers, remplace Sœur Ste Marthe, gravement malade.
C’est le 25ème anniversaire de l’école et la pose de la plaque commémorative en souvenir de Mademoiselle de Réveilhac qui, après avoir fait don de tous ses biens, a terminé sa vie dans l’ombre de l’Immaculée.
1965
Sœur St Pierre du Christ, après une grave maladie, est rappelée auprès du Seigneur le 6 mars. Sœur Ste Marthe, qui était restée à l’Immaculée, reprend ses fonctions jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Sœur Marie-Victor arrive alors pour prendre la relève comme supérieure des religieuses et pour assurer le fonctionnement. Sœur Ste Geneviève, depuis déjà de nombreuses années dans l’école, assure la direction pédagogique.
1966
Le nombre d’élèves augmente toujours. Il faut construire. A la rentrée de septembre, le bâtiment des Cèdres, premier bâtiment en dur dans la prairie, abrite les classes d’enseignement commercial.
1969
La communauté des filles de Marie qui est à l’école Notre-Dame désirant se retirer, une fusion entre l’Immaculée et Notre-Dame est décidée. Les cours techniques partent pour Notre-Dame avec Sœur St Pierre comme directrice. L’institut Notre-Dame reprendra son autonomie quelques années plus tard.
1970
Construction d’une classe à St Joseph
1972
Construction d’une autre classe. Ces classes sont réalisées en grande partie par Monsieur PITETTE et les parents d’élèves.
Mixité à l’Immaculée en 6ème et 5ème de transition. Manque de locaux, il faut encore construire.
1973
A la rentrée, ouverture du deuxième bâtiment en dur « Les Peupliers ».Sœur Marie Victor réfléchit sur le besoin d’un gymnase.
1974
A l’école St Joseph, déplacement d’un préfabriqué et ouverture d’un réfectoire.
1975
Appelée à d’autres fonctions par la communauté, Sœur Marie Victor nous quitte, remplacée par Sœur Gabrielle.
1979
Après concertation entre les responsables diocésains, les deux directions, les A.E.P et les A.P.E.L. de l’Immaculée et de St Joseph, la fusion entre les deux établissements est décidée, ce qui amène la mixité dans toutes les classes. Monsieur PITETTE, avec beaucoup d’abnégation, accepte de quitter ses fonctions de directeur pour prendre la responsabilité des classes de préapprentissage à l’Immaculée.
L’école devient alors ce qu’elle est aujourd’hui.
Il restait à réaliser un vieux rêve et une nécessité : la construction d’un gymnase ; ce qui est fait.
1983
La communauté des Sœurs Sainte Marie de Torfou ne pouvant plus assurer la direction, elle doit, avec beaucoup de regrets, envisager de faire appel à une directrice laïque. Cette directrice doit entrer en fonction en septembre. Hélas, huit jours avant la rentrée, cela ne peut se faire. Il faut alors trouver d’urgence une autre directrice. Madame ADAM accepte cette charge impromptue avec beaucoup de courage. Elle se met au service de l’Immaculée avec compétence et dévouement.
1989
La technologie faisant place à l’éducation manuelle et technique (EMT) dans les nouveaux programmes du collège, le bâtiment des SAPINS est construit avec les trois salles adaptées aux nouvelles instructions officielles. On en profite pour donner à la musique et aux Arts Plastiques des locaux dignes.
1993
Les préfabriqués ont fait leur temps. Construction du bâtiment des Sorbiers.
1996
Passage de la commission de sécurité qui donne son verdict : la cantine n’est plus aux normes.
Construction du restaurant scolaire à l’emplacement de l’ancien.
Installation d’un chapiteau au milieu de la cour du château. Transformation des locaux voisins pour assurer la confection des repas pendant la construction.
1997
Madame Claudine CORLAY prend la direction de l’école.
Décembre 1999
La tempête endommage fortement la propriété : 36 arbres sont déracinés.
Décembre 1999
Madame Maryse HUILLERY prend la direction de l’école.
Janvier puis mars 2001
L’Iton sort de son lit et atteint les bâtiments du collège. Les élèves profitent de deux jours de vacances supplémentaires. Les préfabriqués des classes maternelles endommagés ne peuvent plus accueillir les élèves. Il faut donc construire…
Eté 2001
Aménagement des bâtiments de la rue d’Harrouard.
Construction du nouveau pont : le pont des Ifs. L’ancien demeure pour la mémoire. Il avait été fort endommagé lors de la tempête de 1999. Le sapin de la cour des maternelles était tombé et s’était engouffré sous le pont, ébranlant ainsi fortement son ossature.
2002
Construction d’un bâtiment au collège reliant le bâtiment des Cèdres et le bâtiment des Peupliers : Les Orangers. Aménagement de salles multimédias et du CDI.
Construction du bâtiment des Glycines qui accueillera les 4 classes de maternelles, les 2 classes de CP et des annexes.
2003
Madame Christine PITETTE prend la direction de l’école.
2011
Une nouvelle page se tourne dans l’histoire de l’Immaculée.
Après 28 années vouées au service de l’établissement, Madame ADAM part pour une retraite bien méritée.
Pendant 28 ans de direction, elle a accompagné et permis l’essor de l’Immaculée qui compte au moment de son départ 25 classes pour 619 élèves au collège, 4 classes pour 100 élèves à l’école maternelle et 11 classes pour 277 élèves à l’école primaire.
Son successeur, Monsieur LOUBIÈRE, prend ses fonctions en septembre.
2020
Monsieur RODAS prend la direction du collège Immaculée
Monsieur HERT prend la direction de l’école Immaculée
Historique Saint Pierre Marie Cécile
Ecole Marie-Cécile Rue Borville Dupuis Evreux
L’héritage d’une histoire, la transmission de valeurs…
St Pierre … Marie-Cécile : deux bâtiments, deux écoles, deux communautés éducatives distinctes à l’origine.
Permettez-moi de retracer brièvement l’histoire de ceux qui nous ont ouvert la voie…
Tenue par les frères des Ecoles Chrétiennes, l’école St Pierre ouvre officiellement ses cours en 1891 dans les locaux que nous connaissons, place du marché. Il s’agit d’une école de garçons.
Peu après la séparation de l’Eglise et de l’Etat, Monseigneur Lucas fonde une école de filles, rue Borville Dupuis, sous le patronage de « Marie-Cécile » en souvenir de sa nièce, religieuse au couvent des Ursulines. En 1928, c’est grâce aux sœurs de la Providence que l’école prend son essor, assurant aux jeunes filles, une éducation chrétienne doublée d’une solide instruction.
Puis vient le temps des épreuves : guerre, exode, bombardement de la ville…
Comme souvent dans la difficulté, des hommes et des femmes se lèvent et unissent leurs forces pour que les deux établissements poursuivent leur mission d’éducation auprès des jeunes.
Une évidence demeure pour l’Eglise Catholique Diocésaine : les écoles St Pierre et Marie-Cécile ont toute leur place et leur raison d’être au cœur de la cité ébroïcienne.
Forts de cette conviction, les différents Directeurs, religieux puis laïcs, continueront d’œuvrer pour poursuivre la tâche d’éducation et d’instruction des fondateurs.
En 1977, les sœurs confient la direction de l’école à Mme DELALANDE. Elle mènera à son terme le projet de réunion de Marie-Cécile avec St Pierre et donc de la mixité en 1990. L’établissement accueille alors, les élèves de : Maternelle, CP et CE1 à Marie-Cécile et, CE2, CM1 et CM2 à St Pierre.
Ce n’est que le 1er septembre 2015, après un long temps de réflexion, de projets imaginés, modifiés, puis facilités par la fusion des organismes de gestion de l’Immaculée et de St Pierre Marie-Cécile que les classes maternelles s’installent dans des locaux neufs, clairs et fonctionnels. L’ancien bâtiment était doté, à cette occasion, d’une nouvelle salle de restauration et d’un self flambant neuf à la grande satisfaction des élèves.
La famille St Pierre Marie-Cécile est maintenant regroupée au 13, rue St Pierre et vit des jours heureux dans un cadre confortable et chaleureux.
Christine Pitette.
Les Fêtes de PâquesLes Fêtes de Pâques arrivent à grands pas !
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Historique de l'Immaculée
- Madame Réveilhac– Juin 2017

- HISTORIQUE DE L’IMMACULEE : 1938 – 2017– Mai 2017
1938 Mademoiselle REVEILHAC , connue le plus souvent sous le nom de Mlle Marthe, qui avait grand souci de l’éducation chrétienne des enfants du quartier de Navarre, fait don de sa propriété pour ouvrir une école. Avec l’aide du Chanoine DELAMARE, curé de la paroisse et de Madame La Baronne DU POUGET, une classe de garçons est ouverte dans les locaux de la Sainte Famille. Appel est lancé à cette même communauté pour prendre la responsabilité de l’école de filles, dans les locaux du château.
1938
Mademoiselle REVEILHAC , connue le plus souvent sous le nom de Mlle Marthe, qui avait grand souci de l’éducation chrétienne des enfants du quartier de Navarre, fait don de sa propriété pour ouvrir une école.
Avec l’aide du Chanoine DELAMARE, curé de la paroisse et de Madame La Baronne DU POUGET, une classe de garçons est ouverte dans les locaux de la Sainte Famille. Appel est lancé à cette même communauté pour prendre la responsabilité de l’école de filles, dans les locaux du château.
La loi de séparation de l’église et de l’état interdit aux sœurs d’enseigner en tant que religieuses. Ce sont donc quatre demoiselles qui ouvrent cette école.
Mlle MARTHE : Sœur Ste Marthe, Supérieure, directrice et fondatrice du pensionnat de l’Immaculée ;
Mlle MARIE : Sœur St Pierre du Christ ;
Mlle GABRIELLE : Sœur Marie-Léon, tante de notre future directrice Sœur Gabrielle ;
Puis en 1939, Mlle REINE : Sœur Ste Reine.
L’école ouvre avec 18 élèves en septembre, puis 50 en novembre et quelques pensionnaires.
- 1939
La première pierre de l’école St Joseph est posée : deux classes sont présentes.
- Monsieur PUGEAULT est le directeur.
Un cours complémentaire est ouvert à l’Immaculée.
1940
Le château est occupé par les allemands jusqu’au 15 août. Après leur départ, les sœurs remettent tout en ordre et l’école ouvre début septembre.
Il y a alors une cinquantaine d’élèves : les maternelles dans un petit bâtiment le long de la rivière, les primaires au château et les classes préparant au Brevet dans les anciennes écuries, actuel réfectoire. Et au centre cette cour, sous la pelouse, une tranchée servant de refuge lors des alertes.
1941
Les sœurs ont maintenant le droit d’enseigner en tant que religieuses. Il n’y a plus de « Mademoiselle » mais des « Chères sœurs ».
1942
Agrandissement de la véranda sur le parc pour doubler le réfectoire.
1943
Ouverture d’une classe préparatoire au baccalauréat. Cette classe sera fermée deux ans plus tard.
1944
Classes primaires dans les anciens communs et dans trois baraquements à l’ombre du Cèdre du Liban, deux fois centenaire, ainsi qu’une classe d’enseignement ménager.
1945
Paraît au Journal Officiel la déclaration de l’association « les jeunes de l’Immaculée »
1946
Les effectifs continuent à grossir, les classes maternelles émigrent dans les locaux, près des sœurs de la Sainte Famille. Les communs deviennent alors cuisine et réfectoire. L’ancien vestibule, ancien réfectoire, est partagé en deux parties : vestibule pour l’accueil et petite chapelle.
1948
Aménagement de dortoirs et de douches au-dessus de l’actuel réfectoire.
Prise en charge par Sœur St Pierre, pour la distinguer de Sœur St Pierre du Christ, des cours commerciaux.
A St Joseph, Monsieur LIMEUL remplace Monsieur PUGEAULT.
1950
Une construction s’élève le long de la rivière entre le château et les réfectoires. Trois classes accueillent les cours commerciaux et l’enseignement ménager. Cette construction sera surélevée deux ans plus tard, le premier étage accueillant les dortoirs.
Cette même année débute à Mandailles, au pied du Puy Mary, dans une maison ayant appartenu à un prêtre de la famille Réveilhac, les premières colonies de vacances suivies par des classes de neige.
1951
Monsieur LIMEUL, directeur de l’école St Joseph, décède d’une crise cardiaque le soir de la kermesse. Monsieur le chanoine BIENVENU assure l’intérim, suivi en 1952 par Monsieur LEFEBVRE.
1953
Monsieur LANAVE remplace Monsieur LEFEBVRE.
1957
Monsieur PITETTE prend la direction de Saint Joseph avec Madame JOLY (Ghyslaine Chanoine) comme adjointe.
1960
Le saut de la rivière est décidé et, dans la prairie où paissaient quelques vaches, les premiers préfabriqués sont implantés. Cela permet aux classes enfantines et primaires de revenir à l’Immaculée. Les classes de 6ème et 5ème s’y abritent également et une salle de jeux servant de sport s’y ajoute bientôt.
Ce sont également les premières applications de la loi scolaire votée le 31 décembre 1959 : loi Barangé accordant des subventions aux écoles privées.
Jusqu’à cette époque, la totalité des frais de fonctionnement, les salaires des maîtres, des professeurs, des personnels ainsi que les constructions, étaient à la charge des parents d’élèves. Il arrivait que, pour assurer les salaires des professeurs, pourtant bien peu élevés, il faille demander l’aide du Curé de la Paroisse.
C’est aussi une deuxième tranche de préfabriqués dans la prairie. Les classes se multiplient : classes de 6ème, 5ème, 4ème et 3ème pratiques.
1962
Ouverture d’une troisième classe dans un préfabriqué.
1963
Sœur St Pierre du Christ, revenue à Evreux après avoir été directrice à Damville et aux Herbiers, remplace Sœur Ste Marthe, gravement malade.
C’est le 25ème anniversaire de l’école et la pose de la plaque commémorative en souvenir de Mademoiselle de Réveilhac qui, après avoir fait don de tous ses biens, a terminé sa vie dans l’ombre de l’Immaculée.
1965
Sœur St Pierre du Christ, après une grave maladie, est rappelée auprès du Seigneur le 6 mars. Sœur Ste Marthe, qui était restée à l’Immaculée, reprend ses fonctions jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Sœur Marie-Victor arrive alors pour prendre la relève comme supérieure des religieuses et pour assurer le fonctionnement. Sœur Ste Geneviève, depuis déjà de nombreuses années dans l’école, assure la direction pédagogique.
1966
Le nombre d’élèves augmente toujours. Il faut construire. A la rentrée de septembre, le bâtiment des Cèdres, premier bâtiment en dur dans la prairie, abrite les classes d’enseignement commercial.
1969
La communauté des filles de Marie qui est à l’école Notre-Dame désirant se retirer, une fusion entre l’Immaculée et Notre-Dame est décidée. Les cours techniques partent pour Notre-Dame avec Sœur St Pierre comme directrice. L’institut Notre-Dame reprendra son autonomie quelques années plus tard.
1970
Construction d’une classe à St Joseph
1972
Construction d’une autre classe. Ces classes sont réalisées en grande partie par Monsieur PITETTE et les parents d’élèves.
Mixité à l’Immaculée en 6ème et 5ème de transition. Manque de locaux, il faut encore construire.
1973
A la rentrée, ouverture du deuxième bâtiment en dur « Les Peupliers ».Sœur Marie Victor réfléchit sur le besoin d’un gymnase.
1974
A l’école St Joseph, déplacement d’un préfabriqué et ouverture d’un réfectoire.
1975
Appelée à d’autres fonctions par la communauté, Sœur Marie Victor nous quitte, remplacée par Sœur Gabrielle.
1979
Après concertation entre les responsables diocésains, les deux directions, les A.E.P et les A.P.E.L. de l’Immaculée et de St Joseph, la fusion entre les deux établissements est décidée, ce qui amène la mixité dans toutes les classes. Monsieur PITETTE, avec beaucoup d’abnégation, accepte de quitter ses fonctions de directeur pour prendre la responsabilité des classes de préapprentissage à l’Immaculée.
L’école devient alors ce qu’elle est aujourd’hui.
Il restait à réaliser un vieux rêve et une nécessité : la construction d’un gymnase ; ce qui est fait.
1983
La communauté des Sœurs Sainte Marie de Torfou ne pouvant plus assurer la direction, elle doit, avec beaucoup de regrets, envisager de faire appel à une directrice laïque. Cette directrice doit entrer en fonction en septembre. Hélas, huit jours avant la rentrée, cela ne peut se faire. Il faut alors trouver d’urgence une autre directrice. Madame ADAM accepte cette charge impromptue avec beaucoup de courage. Elle se met au service de l’Immaculée avec compétence et dévouement.
1989
La technologie faisant place à l’éducation manuelle et technique (EMT) dans les nouveaux programmes du collège, le bâtiment des SAPINS est construit avec les trois salles adaptées aux nouvelles instructions officielles. On en profite pour donner à la musique et aux Arts Plastiques des locaux dignes.
1993
Les préfabriqués ont fait leur temps. Construction du bâtiment des Sorbiers.
1996
Passage de la commission de sécurité qui donne son verdict : la cantine n’est plus aux normes.
Construction du restaurant scolaire à l’emplacement de l’ancien.
Installation d’un chapiteau au milieu de la cour du château. Transformation des locaux voisins pour assurer la confection des repas pendant la construction.
1997
Madame Claudine CORLAY prend la direction de l’école.
Décembre 1999
La tempête endommage fortement la propriété : 36 arbres sont déracinés.
Décembre 1999
Madame Maryse HUILLERY prend la direction de l’école.
Janvier puis mars 2001
L’Iton sort de son lit et atteint les bâtiments du collège. Les élèves profitent de deux jours de vacances supplémentaires. Les préfabriqués des classes maternelles endommagés ne peuvent plus accueillir les élèves. Il faut donc construire…
Eté 2001
Aménagement des bâtiments de la rue d’Harrouard.
Construction du nouveau pont : le pont des Ifs. L’ancien demeure pour la mémoire. Il avait été fort endommagé lors de la tempête de 1999. Le sapin de la cour des maternelles était tombé et s’était engouffré sous le pont, ébranlant ainsi fortement son ossature.
2002
Construction d’un bâtiment au collège reliant le bâtiment des Cèdres et le bâtiment des Peupliers : Les Orangers. Aménagement de salles multimédias et du CDI.
Construction du bâtiment des Glycines qui accueillera les 4 classes de maternelles, les 2 classes de CP et des annexes.
2003
Madame Christine PITETTE prend la direction de l’école.
2011
Une nouvelle page se tourne dans l’histoire de l’Immaculée.
Après 28 années vouées au service de l’établissement, Madame ADAM part pour une retraite bien méritée.
Pendant 28 ans de direction, elle a accompagné et permis l’essor de l’Immaculée qui compte au moment de son départ 25 classes pour 619 élèves au collège, 4 classes pour 100 élèves à l’école maternelle et 11 classes pour 277 élèves à l’école primaire.
Son successeur, Monsieur LOUBIÈRE, prend ses fonctions en septembre.
2020
Monsieur RODAS prend la direction du collège Immaculée
Monsieur HERT prend la direction de l’école Immaculée
Historique Saint Pierre Marie Cécile
Ecole Marie-Cécile Rue Borville Dupuis Evreux
L’héritage d’une histoire, la transmission de valeurs…
St Pierre … Marie-Cécile : deux bâtiments, deux écoles, deux communautés éducatives distinctes à l’origine.
Permettez-moi de retracer brièvement l’histoire de ceux qui nous ont ouvert la voie…
Tenue par les frères des Ecoles Chrétiennes, l’école St Pierre ouvre officiellement ses cours en 1891 dans les locaux que nous connaissons, place du marché. Il s’agit d’une école de garçons.
Peu après la séparation de l’Eglise et de l’Etat, Monseigneur Lucas fonde une école de filles, rue Borville Dupuis, sous le patronage de « Marie-Cécile » en souvenir de sa nièce, religieuse au couvent des Ursulines. En 1928, c’est grâce aux sœurs de la Providence que l’école prend son essor, assurant aux jeunes filles, une éducation chrétienne doublée d’une solide instruction.
Puis vient le temps des épreuves : guerre, exode, bombardement de la ville…
Comme souvent dans la difficulté, des hommes et des femmes se lèvent et unissent leurs forces pour que les deux établissements poursuivent leur mission d’éducation auprès des jeunes.
Une évidence demeure pour l’Eglise Catholique Diocésaine : les écoles St Pierre et Marie-Cécile ont toute leur place et leur raison d’être au cœur de la cité ébroïcienne.
Forts de cette conviction, les différents Directeurs, religieux puis laïcs, continueront d’œuvrer pour poursuivre la tâche d’éducation et d’instruction des fondateurs.
En 1977, les sœurs confient la direction de l’école à Mme DELALANDE. Elle mènera à son terme le projet de réunion de Marie-Cécile avec St Pierre et donc de la mixité en 1990. L’établissement accueille alors, les élèves de : Maternelle, CP et CE1 à Marie-Cécile et, CE2, CM1 et CM2 à St Pierre.
Ce n’est que le 1er septembre 2015, après un long temps de réflexion, de projets imaginés, modifiés, puis facilités par la fusion des organismes de gestion de l’Immaculée et de St Pierre Marie-Cécile que les classes maternelles s’installent dans des locaux neufs, clairs et fonctionnels. L’ancien bâtiment était doté, à cette occasion, d’une nouvelle salle de restauration et d’un self flambant neuf à la grande satisfaction des élèves.
La famille St Pierre Marie-Cécile est maintenant regroupée au 13, rue St Pierre et vit des jours heureux dans un cadre confortable et chaleureux.
Christine Pitette.
Les Fêtes de PâquesLes Fêtes de Pâques arrivent à grands pas !
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Merci
- Madame Réveilhac– Juin 2017
- HISTORIQUE DE L’IMMACULEE : 1938 – 2017– Mai 2017
1938 Mademoiselle REVEILHAC , connue le plus souvent sous le nom de Mlle Marthe, qui avait grand souci de l’éducation chrétienne des enfants du quartier de Navarre, fait don de sa propriété pour ouvrir une école. Avec l’aide du Chanoine DELAMARE, curé de la paroisse et de Madame La Baronne DU POUGET, une classe de garçons est ouverte dans les locaux de la Sainte Famille. Appel est lancé à cette même communauté pour prendre la responsabilité de l’école de filles, dans les locaux du château.
1938
Mademoiselle REVEILHAC , connue le plus souvent sous le nom de Mlle Marthe, qui avait grand souci de l’éducation chrétienne des enfants du quartier de Navarre, fait don de sa propriété pour ouvrir une école.
Avec l’aide du Chanoine DELAMARE, curé de la paroisse et de Madame La Baronne DU POUGET, une classe de garçons est ouverte dans les locaux de la Sainte Famille. Appel est lancé à cette même communauté pour prendre la responsabilité de l’école de filles, dans les locaux du château.
La loi de séparation de l’église et de l’état interdit aux sœurs d’enseigner en tant que religieuses. Ce sont donc quatre demoiselles qui ouvrent cette école.
Mlle MARTHE : Sœur Ste Marthe, Supérieure, directrice et fondatrice du pensionnat de l’Immaculée ;
Mlle MARIE : Sœur St Pierre du Christ ;
Mlle GABRIELLE : Sœur Marie-Léon, tante de notre future directrice Sœur Gabrielle ;
Puis en 1939, Mlle REINE : Sœur Ste Reine.
L’école ouvre avec 18 élèves en septembre, puis 50 en novembre et quelques pensionnaires.
- 1939
La première pierre de l’école St Joseph est posée : deux classes sont présentes. - Monsieur PUGEAULT est le directeur.
Un cours complémentaire est ouvert à l’Immaculée.
1940
Le château est occupé par les allemands jusqu’au 15 août. Après leur départ, les sœurs remettent tout en ordre et l’école ouvre début septembre.
Il y a alors une cinquantaine d’élèves : les maternelles dans un petit bâtiment le long de la rivière, les primaires au château et les classes préparant au Brevet dans les anciennes écuries, actuel réfectoire. Et au centre cette cour, sous la pelouse, une tranchée servant de refuge lors des alertes.
1941
Les sœurs ont maintenant le droit d’enseigner en tant que religieuses. Il n’y a plus de « Mademoiselle » mais des « Chères sœurs ».
1942
Agrandissement de la véranda sur le parc pour doubler le réfectoire.
1943
Ouverture d’une classe préparatoire au baccalauréat. Cette classe sera fermée deux ans plus tard.
1944
Classes primaires dans les anciens communs et dans trois baraquements à l’ombre du Cèdre du Liban, deux fois centenaire, ainsi qu’une classe d’enseignement ménager.
1945
Paraît au Journal Officiel la déclaration de l’association « les jeunes de l’Immaculée »
1946
Les effectifs continuent à grossir, les classes maternelles émigrent dans les locaux, près des sœurs de la Sainte Famille. Les communs deviennent alors cuisine et réfectoire. L’ancien vestibule, ancien réfectoire, est partagé en deux parties : vestibule pour l’accueil et petite chapelle.
1948
Aménagement de dortoirs et de douches au-dessus de l’actuel réfectoire.
Prise en charge par Sœur St Pierre, pour la distinguer de Sœur St Pierre du Christ, des cours commerciaux.
A St Joseph, Monsieur LIMEUL remplace Monsieur PUGEAULT.
1950
Une construction s’élève le long de la rivière entre le château et les réfectoires. Trois classes accueillent les cours commerciaux et l’enseignement ménager. Cette construction sera surélevée deux ans plus tard, le premier étage accueillant les dortoirs.
Cette même année débute à Mandailles, au pied du Puy Mary, dans une maison ayant appartenu à un prêtre de la famille Réveilhac, les premières colonies de vacances suivies par des classes de neige.
1951
Monsieur LIMEUL, directeur de l’école St Joseph, décède d’une crise cardiaque le soir de la kermesse. Monsieur le chanoine BIENVENU assure l’intérim, suivi en 1952 par Monsieur LEFEBVRE.
1953
Monsieur LANAVE remplace Monsieur LEFEBVRE.
1957
Monsieur PITETTE prend la direction de Saint Joseph avec Madame JOLY (Ghyslaine Chanoine) comme adjointe.
1960
Le saut de la rivière est décidé et, dans la prairie où paissaient quelques vaches, les premiers préfabriqués sont implantés. Cela permet aux classes enfantines et primaires de revenir à l’Immaculée. Les classes de 6ème et 5ème s’y abritent également et une salle de jeux servant de sport s’y ajoute bientôt.
Ce sont également les premières applications de la loi scolaire votée le 31 décembre 1959 : loi Barangé accordant des subventions aux écoles privées.
Jusqu’à cette époque, la totalité des frais de fonctionnement, les salaires des maîtres, des professeurs, des personnels ainsi que les constructions, étaient à la charge des parents d’élèves. Il arrivait que, pour assurer les salaires des professeurs, pourtant bien peu élevés, il faille demander l’aide du Curé de la Paroisse.
C’est aussi une deuxième tranche de préfabriqués dans la prairie. Les classes se multiplient : classes de 6ème, 5ème, 4ème et 3ème pratiques.
1962
Ouverture d’une troisième classe dans un préfabriqué.
1963
Sœur St Pierre du Christ, revenue à Evreux après avoir été directrice à Damville et aux Herbiers, remplace Sœur Ste Marthe, gravement malade.
C’est le 25ème anniversaire de l’école et la pose de la plaque commémorative en souvenir de Mademoiselle de Réveilhac qui, après avoir fait don de tous ses biens, a terminé sa vie dans l’ombre de l’Immaculée.
1965
Sœur St Pierre du Christ, après une grave maladie, est rappelée auprès du Seigneur le 6 mars. Sœur Ste Marthe, qui était restée à l’Immaculée, reprend ses fonctions jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Sœur Marie-Victor arrive alors pour prendre la relève comme supérieure des religieuses et pour assurer le fonctionnement. Sœur Ste Geneviève, depuis déjà de nombreuses années dans l’école, assure la direction pédagogique.
1966
Le nombre d’élèves augmente toujours. Il faut construire. A la rentrée de septembre, le bâtiment des Cèdres, premier bâtiment en dur dans la prairie, abrite les classes d’enseignement commercial.
1969
La communauté des filles de Marie qui est à l’école Notre-Dame désirant se retirer, une fusion entre l’Immaculée et Notre-Dame est décidée. Les cours techniques partent pour Notre-Dame avec Sœur St Pierre comme directrice. L’institut Notre-Dame reprendra son autonomie quelques années plus tard.
1970
Construction d’une classe à St Joseph
1972
Construction d’une autre classe. Ces classes sont réalisées en grande partie par Monsieur PITETTE et les parents d’élèves.
Mixité à l’Immaculée en 6ème et 5ème de transition. Manque de locaux, il faut encore construire.
1973
A la rentrée, ouverture du deuxième bâtiment en dur « Les Peupliers ».Sœur Marie Victor réfléchit sur le besoin d’un gymnase.
1974
A l’école St Joseph, déplacement d’un préfabriqué et ouverture d’un réfectoire.
1975
Appelée à d’autres fonctions par la communauté, Sœur Marie Victor nous quitte, remplacée par Sœur Gabrielle.
1979
Après concertation entre les responsables diocésains, les deux directions, les A.E.P et les A.P.E.L. de l’Immaculée et de St Joseph, la fusion entre les deux établissements est décidée, ce qui amène la mixité dans toutes les classes. Monsieur PITETTE, avec beaucoup d’abnégation, accepte de quitter ses fonctions de directeur pour prendre la responsabilité des classes de préapprentissage à l’Immaculée.
L’école devient alors ce qu’elle est aujourd’hui.
Il restait à réaliser un vieux rêve et une nécessité : la construction d’un gymnase ; ce qui est fait.
1983
La communauté des Sœurs Sainte Marie de Torfou ne pouvant plus assurer la direction, elle doit, avec beaucoup de regrets, envisager de faire appel à une directrice laïque. Cette directrice doit entrer en fonction en septembre. Hélas, huit jours avant la rentrée, cela ne peut se faire. Il faut alors trouver d’urgence une autre directrice. Madame ADAM accepte cette charge impromptue avec beaucoup de courage. Elle se met au service de l’Immaculée avec compétence et dévouement.
1989
La technologie faisant place à l’éducation manuelle et technique (EMT) dans les nouveaux programmes du collège, le bâtiment des SAPINS est construit avec les trois salles adaptées aux nouvelles instructions officielles. On en profite pour donner à la musique et aux Arts Plastiques des locaux dignes.
1993
Les préfabriqués ont fait leur temps. Construction du bâtiment des Sorbiers.
1996
Passage de la commission de sécurité qui donne son verdict : la cantine n’est plus aux normes.
Construction du restaurant scolaire à l’emplacement de l’ancien.
Installation d’un chapiteau au milieu de la cour du château. Transformation des locaux voisins pour assurer la confection des repas pendant la construction.
1997
Madame Claudine CORLAY prend la direction de l’école.
Décembre 1999
La tempête endommage fortement la propriété : 36 arbres sont déracinés.
Décembre 1999
Madame Maryse HUILLERY prend la direction de l’école.
Janvier puis mars 2001
L’Iton sort de son lit et atteint les bâtiments du collège. Les élèves profitent de deux jours de vacances supplémentaires. Les préfabriqués des classes maternelles endommagés ne peuvent plus accueillir les élèves. Il faut donc construire…
Eté 2001
Aménagement des bâtiments de la rue d’Harrouard.
Construction du nouveau pont : le pont des Ifs. L’ancien demeure pour la mémoire. Il avait été fort endommagé lors de la tempête de 1999. Le sapin de la cour des maternelles était tombé et s’était engouffré sous le pont, ébranlant ainsi fortement son ossature.
2002
Construction d’un bâtiment au collège reliant le bâtiment des Cèdres et le bâtiment des Peupliers : Les Orangers. Aménagement de salles multimédias et du CDI.
Construction du bâtiment des Glycines qui accueillera les 4 classes de maternelles, les 2 classes de CP et des annexes.
2003
Madame Christine PITETTE prend la direction de l’école.
2011
Une nouvelle page se tourne dans l’histoire de l’Immaculée.
Après 28 années vouées au service de l’établissement, Madame ADAM part pour une retraite bien méritée.
Pendant 28 ans de direction, elle a accompagné et permis l’essor de l’Immaculée qui compte au moment de son départ 25 classes pour 619 élèves au collège, 4 classes pour 100 élèves à l’école maternelle et 11 classes pour 277 élèves à l’école primaire.
Son successeur, Monsieur LOUBIÈRE, prend ses fonctions en septembre.
2020
Monsieur RODAS prend la direction du collège Immaculée
Monsieur HERT prend la direction de l’école Immaculée
Historique Saint Pierre Marie Cécile
Ecole Marie-Cécile Rue Borville Dupuis Evreux
L’héritage d’une histoire, la transmission de valeurs…
St Pierre … Marie-Cécile : deux bâtiments, deux écoles, deux communautés éducatives distinctes à l’origine.
Permettez-moi de retracer brièvement l’histoire de ceux qui nous ont ouvert la voie…
Tenue par les frères des Ecoles Chrétiennes, l’école St Pierre ouvre officiellement ses cours en 1891 dans les locaux que nous connaissons, place du marché. Il s’agit d’une école de garçons.
Peu après la séparation de l’Eglise et de l’Etat, Monseigneur Lucas fonde une école de filles, rue Borville Dupuis, sous le patronage de « Marie-Cécile » en souvenir de sa nièce, religieuse au couvent des Ursulines. En 1928, c’est grâce aux sœurs de la Providence que l’école prend son essor, assurant aux jeunes filles, une éducation chrétienne doublée d’une solide instruction.
Puis vient le temps des épreuves : guerre, exode, bombardement de la ville…
Comme souvent dans la difficulté, des hommes et des femmes se lèvent et unissent leurs forces pour que les deux établissements poursuivent leur mission d’éducation auprès des jeunes.
Une évidence demeure pour l’Eglise Catholique Diocésaine : les écoles St Pierre et Marie-Cécile ont toute leur place et leur raison d’être au cœur de la cité ébroïcienne.
Forts de cette conviction, les différents Directeurs, religieux puis laïcs, continueront d’œuvrer pour poursuivre la tâche d’éducation et d’instruction des fondateurs.
En 1977, les sœurs confient la direction de l’école à Mme DELALANDE. Elle mènera à son terme le projet de réunion de Marie-Cécile avec St Pierre et donc de la mixité en 1990. L’établissement accueille alors, les élèves de : Maternelle, CP et CE1 à Marie-Cécile et, CE2, CM1 et CM2 à St Pierre.
Ce n’est que le 1er septembre 2015, après un long temps de réflexion, de projets imaginés, modifiés, puis facilités par la fusion des organismes de gestion de l’Immaculée et de St Pierre Marie-Cécile que les classes maternelles s’installent dans des locaux neufs, clairs et fonctionnels. L’ancien bâtiment était doté, à cette occasion, d’une nouvelle salle de restauration et d’un self flambant neuf à la grande satisfaction des élèves.
La famille St Pierre Marie-Cécile est maintenant regroupée au 13, rue St Pierre et vit des jours heureux dans un cadre confortable et chaleureux.
Christine Pitette.
Ecole Marie-Cécile Rue Borville Dupuis Evreux
L’héritage d’une histoire, la transmission de valeurs…
St Pierre … Marie-Cécile : deux bâtiments, deux écoles, deux communautés éducatives distinctes à l’origine.
Permettez-moi de retracer brièvement l’histoire de ceux qui nous ont ouvert la voie…
Tenue par les frères des Ecoles Chrétiennes, l’école St Pierre ouvre officiellement ses cours en 1891 dans les locaux que nous connaissons, place du marché. Il s’agit d’une école de garçons.
Peu après la séparation de l’Eglise et de l’Etat, Monseigneur Lucas fonde une école de filles, rue Borville Dupuis, sous le patronage de « Marie-Cécile » en souvenir de sa nièce, religieuse au couvent des Ursulines. En 1928, c’est grâce aux sœurs de la Providence que l’école prend son essor, assurant aux jeunes filles, une éducation chrétienne doublée d’une solide instruction.
Puis vient le temps des épreuves : guerre, exode, bombardement de la ville…
Comme souvent dans la difficulté, des hommes et des femmes se lèvent et unissent leurs forces pour que les deux établissements poursuivent leur mission d’éducation auprès des jeunes.
Une évidence demeure pour l’Eglise Catholique Diocésaine : les écoles St Pierre et Marie-Cécile ont toute leur place et leur raison d’être au cœur de la cité ébroïcienne.
Forts de cette conviction, les différents Directeurs, religieux puis laïcs, continueront d’œuvrer pour poursuivre la tâche d’éducation et d’instruction des fondateurs.
En 1977, les sœurs confient la direction de l’école à Mme DELALANDE. Elle mènera à son terme le projet de réunion de Marie-Cécile avec St Pierre et donc de la mixité en 1990. L’établissement accueille alors, les élèves de : Maternelle, CP et CE1 à Marie-Cécile et, CE2, CM1 et CM2 à St Pierre.
Ce n’est que le 1er septembre 2015, après un long temps de réflexion, de projets imaginés, modifiés, puis facilités par la fusion des organismes de gestion de l’Immaculée et de St Pierre Marie-Cécile que les classes maternelles s’installent dans des locaux neufs, clairs et fonctionnels. L’ancien bâtiment était doté, à cette occasion, d’une nouvelle salle de restauration et d’un self flambant neuf à la grande satisfaction des élèves.
La famille St Pierre Marie-Cécile est maintenant regroupée au 13, rue St Pierre et vit des jours heureux dans un cadre confortable et chaleureux.
Christine Pitette.

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